CABOU

Lison

(mercredi 22 avril 2015)

Le nez piqué dans l’édredon flétri, Lison souffle son dégoût.

Et l’autre travaille au corps, tripotant tout, comme chez-soi.

Et l’autre lisse la toison de Lison mais Lison glisse la main sous le matelas où elle a caché son cran d’arrêt.

Corps au sol. Gorge tranchée. Voie libre, désormais et c’est ainsi que Lison se débarrasse de sa patronne.