Le nez piqué dans l’édredon flétri, Lison souffle son dégoût.
Et l’autre travaille au corps, tripotant tout, comme chez-soi.
Et l’autre lisse la toison de Lison mais Lison glisse la main sous le matelas où elle a caché le cran d’arrêt.
Corps au sol. Gorge tranchée. Voie libre, désormais et c’est ainsi que Lison se débarrasse de sa patronne.